Melchior
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Bonjour Damien,
Excuse moi d’avoir été si peu réactif.
Dans la première méthode, tu auras deux colonies, dont une, avec la jeune reine sera plus faible. tu conserve un risque d’essaimage de la vieille reine si la colonie est forte, par contre, tu as des chances de récolter assez rapidement du miel.
Dans le deuxième cas, tu donne la force des butineuses à la jeune reine, tu n’as pratiquement plus de risque d’essaimage, mais tes chances de récolte seront plus tardives.
En tout cas c’est ce que je crois, et je ne détiens pas la science absolue, loin de là.
Apicalement :
Melchior
Bonjour à tous,
La première séance de l’année de formation a eu lieu samedi 21 dans la salle de réunion du GDS.
Nous avons fait connaissance des nouveaux apiculteurs, tous plus sympas et motivés.
C’est un vrai plaisir pour moi de voir qu’il y a de plus en plus de gens qui partage notre passion et avec qui nous partageons notre savoir.
Merci à eux de nous avoir rejoins et merci aux dévoués formateurs qui donnent de leur temps et de leur énergie pour tous
A bintou :
Melchior
Salut,
Pour les bourdons, j’ai vraiment l’impression qu’il y en a moins. Pour le frelon indigène, il est très présent chez moi, les pièges le disent et j’en ai vu pas mal tourner autour des ruches. dans mon jardin et ma coure, j’ai pris des asiatiques au piège, moins que près des ruches, mais quand même. Ils viennent manger les fruits, ils adorent les figues trop mures.
Bonjour Isabelle,
Je suis entièrement d’accord avec toi, la guerre est déclarée.
A partir de la mi-septembre, la prédation est devenue très forte et j’ai posé des pièges fabriqués sur le modèle présenté en A G en 2012 (je crois), avec la variante inspirée par Gérard GAVEAU, vidange facile du piège.
J’ai essayé plusieurs sortes d’appâts à base de sirop ou de miel avec de l’alcool (bière ou vin), ça fonctionne bien, je ne lave pas les pièges, bien que parfois, le charnier soit puant( je ne relève qu’une fois par semaine, parfois moins) Il m’est arrivé que des pièges soient tellement pleins, que ces sales bêtes ne pouvaient plus se noyer.
Persévérons, même si c’est sur que nous ne pourrons jamais venir a bout de cette calamité dont nos chères abeilles n’avaient pas besoin.
Ils faut avoir aussi présent à l’esprit qu’elles ne sont pas les seules victimes, j’ai l’impression que la population de Bombus a fortement diminué. Est ce que vous en avez vu beaucoup depuis le mois d’aout ?
J’ai eu hier soir au téléphone, Marceau LEPISSIER, Ce n’est plus la peine de l’appeler, il a donné tout ce qu’il avait, et n’a pas non plus d’ancien ruché disponible.
C’est signe que la communication à bien fonctionné.
N’hésitez pas à vous servir du forum si vous avez des révélations a nous faire.
Melchior
